Imagination !

C’est aux États-Unis que Dali débute à l’octobre 1941, Labyrinthe, un ballet tiré du mythe de Thésée, sur une musique de Schubert. Parmi les décors du projet, figure une gigantesque tête d’homme au crâne ouvert, avec une porte ouverte à la place du buste. L’Atelier des Lumières prend la forme d’une scène… Sarah Ponchin

Labyrinthe – Dali – Début octobre 1941

Nourrir son imaginaire, comme le faisait Dali, voilà qui me plait, aussi. Je ne suis pas seulement amatrice d’impressionnisme mais aussi de surréalisme.

Exceptionnellement, pour ma sixième présentation, comme vous pouvez le constater, ce n’est pas un tableau de Monet que j’affiche mais une toile de fond de Dali. Elle correspond tout à fait avec le thème du livre que j’ai choisi pour l’écrivain d’aujourd’hui. Cette toile ou ce décor exprime parfaitement, d’après moi, l’état d’esprit dans lequel se trouve le héros et l’histoire du polar « La table des reliefs ».

C’est pourquoi, je vous présente, l’écrivain, Didier Betmalle !

La table des reliefs (Une enquête du commissaire Alceste Proust)
de Didier Betmalle

Commençons par une partie ou plutôt la fin du synopsis.

« Est-ce qu’un sale type peut devenir autre chose qu’un sale type, et si oui, quel chemin doit-il faire pour y parvenir ? Voilà la question qui se pose tout au long de cette enquête, menée par un flic plutôt énigmatique. »

Je pourrais dire que tout est dit dans ces deux phrases. Et pourtant, quelle sensation !

Moi qui aime les polars, celui-ci est particulièrement noir, mais également complètement déjanté et décalé.

Pour les amateurs de phrases impeccablement écrites et de descriptions et/ou de dialogues tantôt effrayants, drôles ou caustiques, foncez !

Pour les autres, curieux mais un peu peureux, je dirais :

« Allez-y, que risquez-vous ? Tout bonnement d’être surpris par cette histoire originale, bon d’accord un peu grinçante et flippante par moment. Comment ? Que dites-vous ? Louis, Evin, vous font flipper aussi ? Leur imagination chaotique, leur labyrinthe intellectuel, vous donnent des craintes ? Avec quelques fois des situations où vous n’êtes pas trop à l’aise 😁 n’est-ce pas ? Allons, pas de quoi avoir de frayeur, dit-elle en claquant des dents ». Eh oui, je me parle aussi à moi-même, c’est contagieux, lisez le polar vous comprendrez.

Le tandem que forment le flic et son fidèle compagnon au nom à consonance romaine est remarquable et le nom propre bien choisi dans cette histoire. Ce duo est très touchant et l’humour est au rendez-vous dans certains cas.

Ce qui peut également vous pousser à lire ce livre, est la plume particulière et excellente de l’auteur. Je le connaissais pour ses merveilleuses chroniques que je lisais (et je continue) sur les réseaux, mais je n’avais pas le plaisir encore, de le lire dans un roman. Franchement bravo Monsieur Betmalle car la fin de votre histoire est saisissante. En effet, je pensais à un tout autre personnage, je fus donc très surprise, dans le bon sens du terme, si je puis m’exprimer ainsi.

Vous pensiez que j’allais vous dévoiler quelque chose de plus ? Vous ne me connaissez pas depuis quelques temps ?

Allez ! Soyez téméraire, vous m’en direz des nouvelles.

Biographie de l’auteur : https://imonet.software/didier-betmalle/

Aiguisez les mots !

« … Monet préfère, contrairement à Courbet au monde de la forêt et de la chasse, la frêle note d’une Pie posée sur un portail comme sur une portée musicale. Soleil et ombre construisent le tableau et traduisent l’insaisissable matière mi solide mi liquide. Le paysage impressionniste était né, cinq ans avant la première exposition officielle et le baptême du mouvement. »

La Pie – Claude Monet – entre 1868 et 1869

Cinquième texte et je suis là derrière cet écran à vous écrire en souriant. Vous qui me suivez, pour quelques-uns ou quelques-unes, pas à pas, presque semaine après semaine.

Aussi, pour exprimer mon admiration envers Claude Monet, de temps en temps, non pas à chaque texte mais quelquefois, je citerai une appréciation qui caractérise sa peinture. Mon émotion reste intacte depuis l’âge de trente ans, l’âge où je voyais pour la première fois une de ses toiles au musée d’Orsay. J’espère que ces tableaux vous plaisent autant qu’à moi.

S’enthousiasmer, aimer la vie, la nature, la tolérance et l’insouciance. Être attachant et s’attacher aux gens.

Vers le Jardin Public – Bordeaux 33

Ces mots font partie de ma personnalité. En effet je m’attache vite, ici ce sera à la lecture et alors je peux ainsi parler de ce que j’ai ressenti au plus profond de moi, grâce ou à cause d’une histoire.

Un auteur, Romain Lebastard, que je n’ai pas encore lu d’ailleurs, a dit un jour : « Lisez de tout, toujours ! Le bon et le moins bon, le difficile et le simple, l’abject et le sublime ; comparez, aimez, détestez et aiguisez votre esprit ! »

Comme il a raison et comme ces mots sont tellement importants, ils ont leur utilité et doivent être bien utilisés.

C’est pourquoi aujourd’hui je vous présente, pour celles et ceux qui ne le connaissent pas encore, Alain Cadéo et son livre « Confessions (ou les spams d’une âme en peine) ». Cet auteur vous parlera mieux que moi et utilisera, comme à son habitude, les mots bien à propos. Ce n’est pas le premier livre de lui que je lis, j’ai aussi lu « Zoé » et « Chaque seconde est un murmure ». A chaque fois je suis plus que ravie et très enchantée.

Confessions (ou les spams d’une âme en peine)
d’Alain Cadéo

Alain Cadéo nous raconte les aventures de Gaspard Staccato ! Le nom est très bien trouvé et vous pourrez facilement deviner sa signification en lisant le livre. Vous pensez que je vais vous mettre sur la voie ? Ce serait trop facile. Je disais donc, les aventures de ce monsieur, ce sont des spams, vous savez ceux que nous trouvons dans notre boite mail ou dans nos indésirables. Tout le monde connait cela. Mais est-ce que vous connaissez des spams qui disparaissent une fois lus ? Ah !

Moi non, je ne connaissais pas. J’ai eu un grand plaisir, avec le sourire et/ou mon émotion toute particulière, à lire cet essai car l’écrivain arrive, avec une facilité déconcertante, à passer d’un langage élégant au langage d’aujourd’hui, quand certains lui répondent poliment ou non.

Je vous parlais de mots plus haut. Encore une fois, comme dans ses précédents livres, l’auteur utilise avec brio, notre langue française pour nous débiter à la mitraillette, toute une palette de verbes, de noms, de messages, tantôt très beaux, tantôt plus acides :-D, pour nous décrire l’histoire de Gaspard, sa « vie » et ses pensées.

Comme à mon habitude je ne vais pas vous dévoiler toute l’histoire.

Toutefois, si comme moi vous aimez les échanges épistolaires, vous aimerez cette histoire très originale et vous vous prendrez au jeu de notre cher Gaspard.

Je vous extrais ces quelques phrases, prises dans cet essai, entre une des protagonistes et l’auteur des fameux spams :

Je cite : « Racontez-moi, comme à un gosse, tous les instants de votre vie. La moindre chose m’intéresse. Il faut être bien bête pour ignorer le grand pouvoir des bagatelles. Sans elles et leurs cousines anecdotes il n’y aurait rien qu’un vide absurde, démesuré et prétentieux comme celui dans lequel je me trouve. »

J’adore cette citation car, que serait notre vie sans nos petites anecdotes et nos détails.

Et celle-ci et ce sera la dernière, une anecdote que nous raconte Gaspard : « Je me souviens, enfant, mon vieil oncle m’amenait dans un jardin public où, dans un coin, sous un petit chapiteau, chaque jour, un marionnettiste faisait exécuter à un groupe de figurines, squelettes et consorts, une danse macabre sur la musique de Saint-Saëns… Et j’étais fasciné… Le cliquetis des os, de tous ces minuscules membres de bois agités en tous sens, un cheval écorché galopant sous la lune dans des rayons phosphorescents arrosant l’avant-scène… ».

Honnêtement, l’épilogue m’a fait me questionner, j’ai beaucoup aimé l’ensemble de l’essai et la fin m’a fait sourire. A vous de le lire !

Biographie de l’auteur : https://imonet.software/alain-cadeo/

En avant toute !

« Janvier 1888. Claude Monet, qui a pris l’habitude de déserter Giverny durant l’hiver, met cap sur la Méditerranée. Auréolée d’une lumière particulière, cette destination lui est familière puisqu’il effectua, quatre ans auparavant, un voyage d’études sur la Riviera… »

Antibes vue de la Salis – 1888 – Claude Monet

Chaque jour qui passe, chaque semaine et ils passent vite, la preuve j’en suis déjà à mon quatrième article, me font dire que je suis toujours autant heureuse d’écrire sur ce blog, et de vous raconter un peu de ma vie avant de vous présenter un nouvel auteur.

Nous sommes tous maîtres de notre destin et la voie que nous nous sommes tracée, choisie ou pas, peut définir qui nous sommes. Le croyez-vous vraiment ? Je suis une personne extravertie et je n’aime pas la solitude, vous savez celle que je n’aurais pas choisie. J’aime être en compagnie d’ami(e)s sincères, de ma famille ou de personnes ayant les mêmes idéaux que moi.

Quelquefois pourtant, qui n’a pas d’a priori concernant un tel ou une telle, je fais la connaissance de personnes ayant des vues différentes de la mienne et je peux être agréablement surprise et avoir ainsi une bonne entente.

Pourquoi je vous parle de cela, tout simplement parce que, dans un tout autre registre, je vous présente, aujourd’hui et ci-dessous, le « dernier livre » de Sabine Bolzan. Sa biographie est dans l’onglet « Auteurs & livres », vous le savez maintenant mais je le répèterai autant de fois que nécessaire 😊. Rien qu’en regardant la couleur bleue de ce livre, un sourire se dessine sur mon visage, je sais que je vais passer un bon moment, pas un simple moment pour autant et toute l’attente du contenu se dévoile au fur et à mesure que je tourne les pages de ce livre dynamique et doux à la fois. Je sais alors que je peux continuer ma lecture avec confiance, mais… et la suite ? Je vous en parle à mots couverts ci-dessous vous disais-je.

Je vous le dis dans mon « à propos », mes goûts en lecture sont larges avec des genres différents, je peux ainsi lire un livre historique, comme la semaine passée, la semaine d’après en lire un autre sur les joies et aventures d’une jolie famille et le mois d’après un polar ou un roman noir. Vous le verrez dans les semaines et mois à venir.

Des Guimauves sur le chocolat chaud
De Sabine Bolzan

Si vous pensez lire un livre, lent, non stimulant ou tout simplement une lecture sans surprise, je vous le dis tout de suite, passez votre chemin car cette histoire est tout sauf cela.

Pour ma part, j’avais vraiment l’impression de faire partie de cette famille que l’auteure nous décrit, pas seulement en spectatrice, mais à part entière.

Je me revoyais, toute petite, en Italie chez ma grand-mère, avec mes frères, mes cousines et cousins et cela sentait bon dans la cuisine, les rires fusaient, la joie de vivre était là, sans conteste.

L’écriture de l’auteure permet ce retour en arrière, chacune et chacun retrouve ces moments doux et chauds que tous, je suis sûr, nous aimons. Moi oui en tout cas. Ou bien s’imaginer dans cette famille et profiter des choses simples de la vie, comme un repas autour d’une table. Son écriture, disais-je, est tout en douceur et ferme à la fois. Elle arrive à nous projeter dans cet écrin de douceur tout en relatant des passages plus triste ou mélancolique mais sans mièvrerie. Ce n’est pas facile de ne pas tomber dans le pathos.

Et puis nous découvrons l’amour filial d’une femme pour son père et d’un père pour sa fille, un amour partagé. Je remarque en lisant ces passages, des souvenirs doux et douloureux à la fois. C’est très bien décrit et écrit et j’en étais attristée, car j’aurais aimé connaître une telle affection et surtout une telle complicité.

Merci à l’écrivaine car je suis passée par tout un tas de sentiments, quelquefois contradictoire, mais jamais je ne me suis ennuyée. J’ai souri, ri, pleuré et oui encore. Que voulez-vous, je vis mes romans avec passion.

Les tout derniers passages du roman vous surprendront peut-être ou pas, ils sont poignants !

A lire à tout prix.

Biographie de l’auteure : https://imonet.software/sabine-bolzan/

Trois « Femmes au jardin »

Femmes au jardin de Claude Monet

Trois fois deux articles, est égal à six, la date d’aujourd’hui, mon troisième article. Six janvier, la date d’anniversaire de Zoé, ma nièce, ainsi que d’Amélie une amie ! Très heureux anniversaire Mesdames 😊 de tout mon cœur ! L’amitié et/ou l’affection sont tellement importantes, elles ont une place fondamentale dans ma vie, et sont précieuses pour moi. L’amitié s’entretient, se gagne, se respecte. « Elle implique souvent un partage de valeurs morales communes. Une relation d’amitié peut prendre différentes formes ; l’entraide, l’écoute réciproque, l’échange de conseils, le soutien, la critique bienveillante, l’admiration pour l’autre, en passant par le partage de loisirs ».

Aujourd’hui je vous présente un seul auteur, ce sera Patrice Quélard et son livre « Place aux immortels » où il est aussi question d’amitié. Ci-dessous vous pourrez lire mon retour, tout chaud car la lecture s’est terminée il y a quelques jours. Rappelez-vous que j’en fais mention sur mon site en vous disant qu’à un moment donné mes articles parleront d’un seul auteur. Vous pourrez lire, dans l’onglet « Auteurs & livres » la biographie de cet écrivain et le connaître un peu mieux, tout comme moi. Une biographie très enrichissante.

Vous savez, à chaque fois que je mets en ligne, à la troisième personne, les bio des auteurs, je souris car je lis certaines comme une histoire, pas vous ? Avouez que ces auteurs sont uniques dans leur genre et nous font passer un bon moment, également en contant leur propre parcours. Personnellement j’aime beaucoup. Je classerai, par la suite, les auteurs par ordre alphabétique.


Place aux Immortels

De Patrice Quélard

Tout d’abord, je rappelle quelques phrases de la 4ème de couverture :

« Certains crimes ne doivent-ils pas demeurer impunis ? À la guerre, y a-t-il encore de la place pour l’idéalisme ? Et surtout, quelle valeur reste-t-il à la vérité quand seule compte la victoire ? »

À vous de découvrir les réponses, parce que je ne dévoilerai rien de plus.

Par contre, je peux crier haut et fort :

Mais que j’aime ce Cognard ! Léon de son prénom, lui qui préfère la compagnie de son cheval, à certains humains. Comme je le comprends ! Rossinante est le prénom de son canasson (un hongre) ou Rocinante d’après le dico, le cheval de ? (Mais si, vous connaissez forcément vos classiques).

Une amitié se tisse néanmoins ainsi qu’une belle complicité, avec Bellec son greffier qui possède à son tour le sien de Greffier :-).

J’aime la bienveillance, la justice et la compréhension de Léon Cognard envers ses hommes à la prévôté.

C’est un Lieutenant de gendarmerie anticonformiste au caractère bien trempé et à la répartie affûtée, seul vice pour lui, puisqu’il ne fume pas ni ne boit comme il le dit si bien au colonel qui l’interroge.

Lire le roman de Patrice Quélard sur liseuse, est parfait car j’ai pu avoir recours de temps en temps à l’explication de mots, instantanément, sans être obligée d’ouvrir mon dictionnaire bien planqué dans ma bibliothèque. Vous l’aurez compris, l’auteur use d’un riche vocabulaire mais ce n’est pas pour me déplaire.

Son écriture est précise, exigeante, minutieuse et pointilleuse. Cela se voit que l’écrivain a pris le temps d’effectuer des recherches sur cette époque et de relater certains faits, certes romancés, mais au plus près possible de la réalité.

Franchement la moindre des choses que nous puissions faire, c’est de le lire avec autant de respect qu’il en a eu pour écrire ce livre magistral ! Livre, qui a reçu le prix du roman de la gendarmerie nationale 2021 et qui est largement mérité.

De plus, même si cette époque n’est pas ma préférée, (ici il est question d’une partie de la grande guerre, 1915) j’ai une passion pour les polars et puisqu’il y a une enquête dans ce roman historique, j’ai été comblée. Que demander de plus ? Une enquête conduite par notre lieutenant de gendarmerie Léon Cognard qui essaie de démêler cette affaire avec toute la justesse possible malgré les freins de sa hiérarchie.

C’est la première fois que je lis un roman de guerre et je dois dire que je suis agréablement surprise car en lisant cette histoire, cela a déclenché en moi quelque chose et l’émotion était bel et bien au rendez-vous ! 👏🏻👏🏻

Allez l’acheter, que dis-je, courez vous le procurer et vous aussi vous saurez tout sur ces immortels !

Biographie de l’auteur : https://imonet.software/patrice-quelard/

Et de deux

La liseuse – Jean-Honoré Fragonard vers 1770

La date d’aujourd’hui est très importante pour moi, le 28 décembre est et était la naissance d’un être cher à mon cœur. Presque tous les livres que je présente et que je présenterai lui auraient plu sans hésiter. J’aurais pu lui expliquer pourquoi je préfère tel livre à tel autre. Je l’explique et l’expliquerai ici face à vous. Mes doigts glissent sur le clavier et je commence à apprécier, sans trop de gêne, de vous parler. Comme si vous étiez face à moi.

C’est aussi et surtout une manière d’exprimer la passion qu’est pour moi la lecture et de vous la présenter de telle façon que vous puissiez y trouver votre bonheur ou votre curiosité.
Mes retours de lecture, je vous le rappelle, vous les trouverez, sous la biographie de l’auteur dans l’onglet « Auteurs & Livres », mais il y aura un autre onglet qui sera consacré uniquement à mes retours dans quelques semaines. Car l’important est aussi de vous parler des différents écrits que je lis et qui me donnent l’envie de continuer cet élan avec émotion.

Cette semaine, encore, vous vous apercevrez que mes goûts, en matière d’ouvrage peuvent être larges. Que ma lecture est aussi un moyen de rire tout en continuant de me cultiver. Je peux dire, sans fausse pudeur, que tous, sans exception, je les admire. Oui je me répète, mais parce que c’est le fond de ma pensée. Être écrivain en plus d’une autre activité, pour beaucoup, est un art et demande des qualités particulières : la constance, l’endurance, la volonté, la passion, ils vous le disent dans leur bio, mieux que moi.

Tout comme la semaine dernière une marche presque quotidienne, bon le week-end dernier, cet exercice plaisant a été quelque peu délaissé 😁, est effectuée pour mon plus grand plaisir et je vous laisse respirer, au travers de ces écrits et ces photos, cette nature bienveillante qui ne demande qu’à vous accompagner à votre tour. Faites l’expérience, allez-y, marchez et regardez autour de vous si vous pouvez trouver un banc où lire votre livre du moment ou votre lecture préférée. Ah mince il pleut 😅 !
A moins que vous préfériez rester au chaud, au coin d’un feu ou près d’un chauffage, un plaid sur les genoux, bon d’accord, on enlève le plaid 😃, ou bien dans un café. Les exemples de lieux ne manquent pas pour assouvir notre passion, n’est-ce pas ?

Photo prise samedi dernier dans un lieu reposant

Pour l’instant, je ne classe pas les écrivains ou écrivaines dans un genre particulier.
Aimeriez-vous que je les différencie sous différents onglets : Polar, roman noir, thriller, littérature blanche, etc. ? Vous pouvez donner votre avis.

À bientôt, vous qui commencez à me lire et me découvrir.

Mon tout premier

Un des premiers tableaux de Claude Monet – Soleil Levant – 1872 – 73

Bien, j’y suis, le jour J est arrivé et mon site/blog est enfin public.

Quelle histoire, quelle nouvelle aventure ! Je m’en vais vous l’expliquer un peu 😊. Pas tout d’un coup, j’en laisse pour les semaines à venir. Oui, je n’écrirai qu’une fois par semaine ou une fois par mois et puis je verrai bien, comme on dit.

Vous pouvez donc consulter mon site autant de fois que vous le désirez, ne vous gênez surtout pas ! Vous allez découvrir des écrivains que j’affectionne tout particulièrement et qui mériteraient d’être mis plus en avant, tant leur écriture ainsi que leur histoire sont dignes de toute autre. D’ailleurs pas mal d’entre eux m’ont aidé, quelquefois sans le vouloir, à faire ce que je fais aujourd’hui. Je leur dois beaucoup. Je VOUS dois beaucoup, Mesdames et Messieurs les écrivains, chroniqueurs et blogueurs. Votre passion a été et est contagieuse et c’est tellement bon.

Il y aura des auto-édités, des édités, des moins connus et des connus. Vous pourrez lire leur biographie.

À ce propos, je leur ai posé huit questions et puis après avoir reçu leur réponse, j’ai transformé ces questions en biographies à la troisième personne. Je continuerai, pour certains et certaines à agir ainsi. C’est au travers de cette bio, que vous aussi, vous apprendrez un peu plus à les connaître, tout comme moi.

Les marches presque quotidiennes que j’effectue me permettent aussi, outre le fait de me détendre et de me dégourdir, d’écrire mes retours de lecture en respirant l’air de ce jardin que j’ai fait mien, depuis plusieurs mois. C’est fou comme la nature peut faire du bien, je peux me ressourcer et continuer de vivre cette passion livresque, avec contentement et entrain.

Photo prise semaine dernière, « mon jardin » Jardin Public – Bordeaux

Croyez-vous au hasard ? A la destinée ? Peu importe en fait. Dites-vous que quel que soit l’objet, la personne, l’arbre, ou l’animal que vous regardez, dans ce jardin ou dans la nature, cela vous permettra d’effectuer un travail qui vous passionne et vous guidera (non, je ne parle pas de développement personnel là) vers un besoin, une passion, que vous avez envie de concrétiser. C’est mon cas. Je vois tout autrement par la suite, mon esprit est plus clair. Je suis revigorée.

Photo prise semaine dernière « mon jardin » Jardin Public – Bordeaux

Quel que soit le livre que j’ai choisi ou que je choisirai de mettre ici, sachez que tous sans exception ont été lus avec attention et non en diagonale. Vous ne trouverez pas de critiques négatives sur mon blog car je n’en ai tout simplement pas envie. A quoi bon ? Certains le font déjà. J’ai choisi d’écrire du positif et rien que du positif.

A vous tous qui me lirez, y compris ma famille et mes amis, je dédie ces quelques lignes.

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